Jdemarre au quart, et toujours dans les temps, ou presque, le son qui racle et qu'on attend, nulle part, loin des choses et des gens, souvent loin mais
moi, nos plaies sont sur mesures, demain escorte les jours sans courbatures, m'attendez pas, pour exploiter l'injure au porte voix, jetez les des, sans moi
J'attends ni changement, ni de tetes droites, dans l'etat, ni rendement, clair; n'y penses plus, les traits tirees a ne rien faire, les mains vides,
A peu de choses pres, on n'entend rien du vide, peu de choses, rien d'utile, qui devine, qui decelle, les eclats que l'on cache, et ceux que l'on seme
A ceux qui savent se taire, a toutes celles qui attendent et observent, A nos histoires, celles qu'on a ratees, A nos espoirs, rayes, A tous ceux qui
L'histoire peine la ou le coeur se rent, et parce que fatigue du reste et plus le temps, des flammes plein la tete, des phrases plein l'ecran, des formes