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Texty: Tryo. De Bouches À Oreilles. Yakamoneye.


Qu'est ce qu'il faut faire,
Mais qu'est ce qu'il faut faire
Mais qu'est ce qu'on peut faire
Mais qu'est ce qu'il faut faire
Mais qu'est ce qu'on peut faire
Mais qu'est ce qu'il faut faire
Mais qu'est ce qu'il faut faire pour court-circuiter ?
Qu'est ce qu'il faut faire pour court-circuiter la-haut ?
Qu'est ce qu'il faut faire pour court-circuiter la-haut ?
Qu'est ce qu'il faut faire pour court-circuiter l'autre ?
Qu'est ce qu'il faut faire pour court-circuiter ?

Que faire pour court-circuiter la conspiration
Qui fait que comme d'habitude, je vis au fil des saisons,
Filin tendu en vue que le reve soit illusion,
Je les volerai bien pour de bon vos montagnes de millions,
Mais bon, il y a bien ma bagnole et mon chien,
Le biberon du bebe, le baby-sitter qui vient demain,
La bouffe, le loyer, la banque a rembourser.
Babylone, ma bien-aimee, c'est pour toi que je vais bosser
Mais bon il y a bien cette chose que j'ai en moi,
Tu ne peux pas la toucher, il y a que moi qui la voit.
Vision virtuelle venant des vents les plus lointains,
Je suis vivant et en revant, je vois la vie comme elle vient.

Le reve commence
Le reve commence
Le reve commence
Le reve commence
Le reve commence
Le reve commence
Le reve reve reve reve ...

Le reve commence, je m'en occuperai bien maman.
Pas de volant, les virages se negocient bien.
Bien, voila que maintenant, un voilier me prend
Et c'est aux voiles dans le vent que je voyage a present.

Je n'ai pas vu de violence
Tu as eu de la chance !
Je n'ai pas vu de violence
Surement pas en France !
Je n'ai pas vu de violence
Tu as eu de la chance !
Je n'ai pas vu de violence
Danse, danse, danse...

Je n'ai pas vu de violence, de voitures, de villes,
Et c'est en France que je poursuis mon exil,
Je vis, je vois, j'oublie les imbeciles
Et c'est la qu'au loin j'appercois une ile
YES!!! .
Tres vite, je m'approche, sur l'eau je ricoche et POF,
J'aterris devant le sourire d'un mioche.
Dans sa main, un morceau de brioche,
A cote de lui, un chien qui renifle ses poches.
Ici, tout est bien, c'est meme mieux qu'au cinoche,
L'air qu'on respire est sain, personne ne roule en Porsche.

On est chez quelqu'un que je sais apprecier.
Il est dans mes reves depuis des dizaines d'annees.

On est chez mon frere,
Celui qui jamais nous envie,
Celui qui aime la terre, l'eau,
Qui a les enfants pour amis,
Lui, il sait se taire, on ecoute ce qu'il dit
Car jamais, jamais, jamais de sa bouche n'apparait le mepris.
L'humour est son petit frere, l'amour son aine,
Son nom represente la Terre, il s'appelle Yakamoneye.
Chez Yakamoneye, nan-nan, il y a pas de monnaie,
Il y a pas de barbeles, nan-nan, pour t'empecher d'entrer,
Il y a pas mal de mouflets chez Yakamoneye,
Un peu de sinse beaucoup de liberte.
Mais qu'est ce qu'on va manger, pour le moment,
Qu'est ce qu'on va planter ?
Il y a pas de quoi s'inquieter, nan-nan, chez Yakamoneye,
Il y a pas de monnaie chez Yakamoneye,
Il y a pas mal de mouflets, et c'est bien, les mouflets.

Je reve, oh, je reve, oh oui je reve,
Je ne fais que ca mon frere, tu vois,
Je reve, oh oui je reve, je reve, je reve,
Je reve, je reve, je reve, je reve
Emmene-nous avec toi !

Je reve, oh oui mon frere, et ca vaut tous mes mois de salaire.
A cote du repaire ou je mene une vie pepere,
Je libere le monde amer et meme si j'y reste fier,
J'aurais du mal a refaire tout ce qui va de travers,
Alors je traverse les oceans pour trouver ce monde d'enfants,
Foncant, foncant comme un dement vers ces gens plus clements,
J'y reste quelque temps, tant que je peux y rester,
Et quand le reveil sonne, j'ai l'energie pour lutter
Car j'ai ete chez mon frere,
Celui qui jamais ne nous envie,
Celui qui aime la terre, l'eau,
Qui a les enfants pour amis, lui, il sait se taire,
On ecoute ce qu'il dit
Car jamais, jamais, jamais de sa bouche n'apparait le mepris.
L'humour est son petit frere, l'amour son aine,
Son nom represente la Terre, il s'appelle Yakamoneye.
Chez Yakamoneye, nan-nan, il y a pas de monnaie,
Il y a pas de barbeles, nan-nan, pour t'empecher d'entrer,
Il y a pas mal de mouflets chez Yakamoneye
Un peu de sinse beaucoup de liberte.
Mais qu'est ce qu'on va manger, pour le moment,
Qu'est ce qu'on va planter ?
Il y a pas de quoi s'inquieter, nan-nan, chez Yakamoneye,
Il y a pas de barbeles chez Yakamoneye, il y a pas mal de mouflets,
Et c'est bien, les mouflets.

Faut rever !

Je reve, oh oui mon frere, et ca vaut tous mes mois de salaire.
A cote du repaire ou je mene une vie pepere,
Je libere le monde amer et meme si j'y reste fier,
J'aurais du mal a refaire tout ce qui va de travers,
Alors je traverse les oceans pour trouver ce monde d'enfants,
Foncant, foncant comme un dement vers ces gens plus clements,
J'y reste quelque temps, tant que je peux y rester,
Et quand le reveil sonne, j'ai l'energie pour lutter
Car j'ai ete chez mon frere, celui qui jamais ne nous envie,
Celui qui aime la terre, l'eau,
Qui a les enfants pour amis,
Lui, il sait se taire, on ecoute ce qu'il dit
Car jamais, jamais, jamais de sa bouche n'apparait le mepris.
L'humour est son petit frere, l'amour son aine,
Son nom represente la Terre, il s'appelle Yakamoneye.
Chez Yakamoneye, nan-nan, il y a pas de monnaie,
Il y a pas de barbeles, nan-nan, pour t'empecher d'entrer,
Il y a pas mal de mouflets chez Yakamoneye
Un peu de sinse beaucoup de liberte.
Mais qu'est ce qu'on va manger, pour le moment,
Qu'est ce qu'on va planter ?
Il y a pas de quoi s'inquieter, nan-nan, chez Yakamoneye,
Il y a pas de monnaie, il y a pas de monnaie, il y a pas de monnaie...