Texty: Thomas Fersen. Un Parapluie Pour Deux.
J'habite au sixieme
Une chambre sans vue,
A la semaine,
La semaine ou la rue.
Je laisse mes quatre murs entre eux
Quand le ciel est bleu,
Je prends un parapluie pour deux
Quand le ciel est pluvieux.
Avec toi, on n'est pas pieds nus
Pour aller dans la rue.
Je descends sans lumiere
A cause du proprietaire,
Je paye au lance-pierre.
Je laisse mes quatre murs entre eux
Quand le ciel est bleu,
Je prends un parapluie pour deux
Quand le ciel est pluvieux.
Avec toi, on n'est pas pieds nus
Pour aller dans la rue.
A tous les etages,
On rencontre des gens
Qui vous devisagent
Sans desserer les dents.
Je descends quatre a quatre
Quand le ciel est bleu,
Je descends sur la rampe
Quand le ciel est pluvieux
Avec eux, on n'est pas pieds nus
Pour aller dans la rue.
Ici la brique est rousse
Et les murs en sont noirs,
Et les filles sont douces
Sur ces fonds repoussoirs.
Je laisse mes quatre murs entre eux
Pour les mauvais trottoirs,
Je prends un parapluie pour deux
S'il commence a pleuvoir.
Allez viens, on n'est pas pieds nus
Pour aller dans la rue
Une chambre sans vue,
A la semaine,
La semaine ou la rue.
Je laisse mes quatre murs entre eux
Quand le ciel est bleu,
Je prends un parapluie pour deux
Quand le ciel est pluvieux.
Avec toi, on n'est pas pieds nus
Pour aller dans la rue.
Je descends sans lumiere
A cause du proprietaire,
Je paye au lance-pierre.
Je laisse mes quatre murs entre eux
Quand le ciel est bleu,
Je prends un parapluie pour deux
Quand le ciel est pluvieux.
Avec toi, on n'est pas pieds nus
Pour aller dans la rue.
A tous les etages,
On rencontre des gens
Qui vous devisagent
Sans desserer les dents.
Je descends quatre a quatre
Quand le ciel est bleu,
Je descends sur la rampe
Quand le ciel est pluvieux
Avec eux, on n'est pas pieds nus
Pour aller dans la rue.
Ici la brique est rousse
Et les murs en sont noirs,
Et les filles sont douces
Sur ces fonds repoussoirs.
Je laisse mes quatre murs entre eux
Pour les mauvais trottoirs,
Je prends un parapluie pour deux
S'il commence a pleuvoir.
Allez viens, on n'est pas pieds nus
Pour aller dans la rue
Thomas Fersen