Texty: Pacifique. Comme Rimbaud Comme Verlaine.
Je me souviens des jours anciens,
Et je pleure un amour sans fin.
Comme Ophelie, je me souviens
D'un cavalier pale et lointain.
Et sur les ailes de mes voyelles,
Je t'envoie mes larmes les plus belles.
Trempees dans l'encre de ma peine,
Pour que de moi tu te souviennes.
Qu'il vienne, qu'il revienne,
Ce temps dont on s'eprenne.
Ou tu savais ces mots,
Si beaux pour dire je t'aime,
Comme Rimbaud, comme Verlaine.
Tous les violons bercent a l'automne,
Mon coeur d'un langueur monotone.
Et dans mon ame qui s'abandonne,
C'est encore ton nom qui resonne.
Et sur les ailes de mes voyelles,
Je t'envoie mes larmes les plus belles.
Trempees dans l'encre de ma peine,
Pour que de moi, tu te souviennes.
Qu'il vienne, qu'il revienne,
Ce temps dont on s'eprenne.
Ou tu savais ces mots,
Si beaux pour dire je t'aime,
Comme Rimbaud, comme Verlaine.
Qu'il vienne, qu'il revienne,
Ce temps dont on s'eprenne.
Ou tu savais ces mots,
Si beaux pour dire je t'aime,
Comme Rimbaud, comme Verlaine.
Et je pleure un amour sans fin.
Comme Ophelie, je me souviens
D'un cavalier pale et lointain.
Et sur les ailes de mes voyelles,
Je t'envoie mes larmes les plus belles.
Trempees dans l'encre de ma peine,
Pour que de moi tu te souviennes.
Qu'il vienne, qu'il revienne,
Ce temps dont on s'eprenne.
Ou tu savais ces mots,
Si beaux pour dire je t'aime,
Comme Rimbaud, comme Verlaine.
Tous les violons bercent a l'automne,
Mon coeur d'un langueur monotone.
Et dans mon ame qui s'abandonne,
C'est encore ton nom qui resonne.
Et sur les ailes de mes voyelles,
Je t'envoie mes larmes les plus belles.
Trempees dans l'encre de ma peine,
Pour que de moi, tu te souviennes.
Qu'il vienne, qu'il revienne,
Ce temps dont on s'eprenne.
Ou tu savais ces mots,
Si beaux pour dire je t'aime,
Comme Rimbaud, comme Verlaine.
Qu'il vienne, qu'il revienne,
Ce temps dont on s'eprenne.
Ou tu savais ces mots,
Si beaux pour dire je t'aime,
Comme Rimbaud, comme Verlaine.
Pacifique