Texty: Christophe Miossec. Baiser. Le Célibat.
Ne plus jamais se laisser surprendre
Ne plus jamais se laisser embringuer
Par des visages tellement tendres
Des visages qui vous font oublier
Tout ce qu'on a un jour pu apprendre
Tout ce qu'on a deja essaye
Durant de longues nuits passees
Dans des chambres a se vautrer
Sur des poupees
Mais le matin est toujours la pour surprendre
Tous ces visages demaquilles
Qui se cachent pour ne pas tendre
Leur simple verite
Ne plus jamais se laisser apprendre
Garder pour soi la moindre verite
Et souffler un froid a faire fendre
Toute aspiration, toute velleite
Faire comme si c'etait toujours decembre
Meme en plein mois de juillet
Et chaque jour souffler sur les braises
Mais n'aspirer qu'aux cendres
N'etre la que pour la baise
Et surtout pas pour les mots tendres
Mieux vaut toujours avoir un jour a rendre
Qu'avoir un jour a ravaler
Descendre, descendre
Pour ne plus jamais avoir a remonter
Le long de doux mots tendres
Qui vous donnent la nausee
N'etre la que pour la baise
Et surtout pas pour les mots tendres
Mieux vaut toujours avoir un jour a rendre
Qu'avoir un jour a ravaler
Descendre, descendre
Pour ne plus jamais avoir a remonter
Le long de doux mots tendres
Qui vous donnent la nausee
S'defendre, s'defendre
Ne plus jamais laisser personne rentrer
Pour ne plus se faire prendre
Pour ne plus se faire voler
Apprendre, apprendre
Apprendre enfin a esquiver
Pour ne plus se faire etendre
Pour ne plus se faire allonger
Miossec, Christophe
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