Texty: Marc Antoine. Haïti.
REFRAIN
Haiti je t'adore meme si je te sens si loin de moi.
Tu es ma mere, tu es mon pere, tu es le sang qui coule dans mes veines.
Haiti je t'adore, j'aimerais tellement etre plus pres de toi, tu es ma soeur, tu es mon frere, tu es le sang qui coule dans mes veines.
J'ai grandi en sol etranger mais maman etait la, pour me montrer les coutumes de chez moi, la langue de chez moi, c'est comme si j'y etais.
Grand mere s'occupait de tous les repas, avec mon pere j'ecoutais tes comperes ilsme parlent de toi s'ennuient de toi, c'est comme si j'y etais.
REFRAIN
On t'appelait la perle des Antilles, tu etais tu restes si magnifique j'ai des images de toi des photos de toi c'est comme si j'y etais.
Le temps sur toi s'est acharne, une partie de toi s'est fait inonde, je parle de toi, je pense a toi, c'est comme si c'est comme si j'y etais.
REFRAIN
Parfois je trouve difficile voir ses images de toi qui defilent souvent ce que l'on montre de toi, ne te represente, ne te represente. . . pas
(Grazie a bugnone per questo testo)
Haiti je t'adore meme si je te sens si loin de moi.
Tu es ma mere, tu es mon pere, tu es le sang qui coule dans mes veines.
Haiti je t'adore, j'aimerais tellement etre plus pres de toi, tu es ma soeur, tu es mon frere, tu es le sang qui coule dans mes veines.
J'ai grandi en sol etranger mais maman etait la, pour me montrer les coutumes de chez moi, la langue de chez moi, c'est comme si j'y etais.
Grand mere s'occupait de tous les repas, avec mon pere j'ecoutais tes comperes ilsme parlent de toi s'ennuient de toi, c'est comme si j'y etais.
REFRAIN
On t'appelait la perle des Antilles, tu etais tu restes si magnifique j'ai des images de toi des photos de toi c'est comme si j'y etais.
Le temps sur toi s'est acharne, une partie de toi s'est fait inonde, je parle de toi, je pense a toi, c'est comme si c'est comme si j'y etais.
REFRAIN
Parfois je trouve difficile voir ses images de toi qui defilent souvent ce que l'on montre de toi, ne te represente, ne te represente. . . pas
(Grazie a bugnone per questo testo)
Marc Antoine