Texty: Lynda Lemay. Surtout Vous.
Il y a des poetes
Qui torturent les mots,
Qui menacent les lettres
Du bout de leur megot,
Des griffoneux, des cancres
Des fraudeurs de la prose
Qui bave de toute leur encre
Pour ne pas dire grand-chose,
Et il y a vous.
Oui il n'y a que vous
Ignorant ceux qui trichent,
Ecrivant avec gout,
Rimant on n'peut plus riche
Faisant autant d'jaloux
Que d'gens qui vous recitent,
Qui quand ils vous imitent
N'vous arrivent pas au genoux
Oui il n'y a que vous
Maitrisant le crayon
Et devenant du coup
Plus grand que l'emotion,
Plus grand que les pays
Qui plantent vos refrains
Au creux de leurs jardins
Qui embaument l'esprit.
Il y a des chanteurs
Qui souillent des coins
De scene
Quand les semelles qu'ils Trainent lancinent en mineur.
Ils cachent leurs yeux vides,
Se tordent et puis
Se plaignent
D'une sourde voix qui saigne
De longs couplets liquides...
Et il y a vous.
Oui il n'y a que vous,
La voix comme un recif,
L'esprit au garde-a-vous,
Le sourcil expressif.
Vous tendez vos yeux pleins
Aux foules qui se pament.
Et vous avez soudain
La taille de votre ame.
Vous etes plus grand que vous
Vous tronez comme un roi.
Les mots sont des bijoux
Qui vous tombent des doigts,
Et on les porte en nous
Ce qui fait que voila
Quand vous rentrez chez vous
Vous ne nous quittez pas.
Puis il y a des hommes ,
Des hommes par millions
Qui tristement plafonnent
Dans leur evolution.
Et il y a vous.
Vous si intemporel,
Si grand mais si fragile,
Penche comme un bon ciel
Au-dessus de votre famille.
Il y a surtout vous
Ruisselant sous vos cils
Quand vous frolez la joue
De votre petite fille.
Il y a surtout vous,
Lucide comme une sagesse
Gagnee par petits bouts,
Par petites faiblesses,
Par exces d'une jeunesse
Que vous avez decrite
Avec tant de justesse
Que ca rend nostalgique.
Il y a surtout vous,
20 ans et tant d'poussieres
Que vos cheveux du coup
Sont tout de blanc couverts.
Il y a surtout vous,
Qui m'ouvrez votre coeur.
Il y a surtout vous
Pour mon plus grand bonheur.
(Merci a full-ace pour cettes paroles)
Qui torturent les mots,
Qui menacent les lettres
Du bout de leur megot,
Des griffoneux, des cancres
Des fraudeurs de la prose
Qui bave de toute leur encre
Pour ne pas dire grand-chose,
Et il y a vous.
Oui il n'y a que vous
Ignorant ceux qui trichent,
Ecrivant avec gout,
Rimant on n'peut plus riche
Faisant autant d'jaloux
Que d'gens qui vous recitent,
Qui quand ils vous imitent
N'vous arrivent pas au genoux
Oui il n'y a que vous
Maitrisant le crayon
Et devenant du coup
Plus grand que l'emotion,
Plus grand que les pays
Qui plantent vos refrains
Au creux de leurs jardins
Qui embaument l'esprit.
Il y a des chanteurs
Qui souillent des coins
De scene
Quand les semelles qu'ils Trainent lancinent en mineur.
Ils cachent leurs yeux vides,
Se tordent et puis
Se plaignent
D'une sourde voix qui saigne
De longs couplets liquides...
Et il y a vous.
Oui il n'y a que vous,
La voix comme un recif,
L'esprit au garde-a-vous,
Le sourcil expressif.
Vous tendez vos yeux pleins
Aux foules qui se pament.
Et vous avez soudain
La taille de votre ame.
Vous etes plus grand que vous
Vous tronez comme un roi.
Les mots sont des bijoux
Qui vous tombent des doigts,
Et on les porte en nous
Ce qui fait que voila
Quand vous rentrez chez vous
Vous ne nous quittez pas.
Puis il y a des hommes ,
Des hommes par millions
Qui tristement plafonnent
Dans leur evolution.
Et il y a vous.
Vous si intemporel,
Si grand mais si fragile,
Penche comme un bon ciel
Au-dessus de votre famille.
Il y a surtout vous
Ruisselant sous vos cils
Quand vous frolez la joue
De votre petite fille.
Il y a surtout vous,
Lucide comme une sagesse
Gagnee par petits bouts,
Par petites faiblesses,
Par exces d'une jeunesse
Que vous avez decrite
Avec tant de justesse
Que ca rend nostalgique.
Il y a surtout vous,
20 ans et tant d'poussieres
Que vos cheveux du coup
Sont tout de blanc couverts.
Il y a surtout vous,
Qui m'ouvrez votre coeur.
Il y a surtout vous
Pour mon plus grand bonheur.
(Merci a full-ace pour cettes paroles)
Lemay Lynda
Lemay Lynda
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