Texty: DobaCaracol. Droit Devant.
On ne voit rien
On n?entend rien
On ne sait rien?
Droit devant, aveuglement, on navigue
Infini, l?ouragan gronde a chaque fragment de seconde
Dans nos jardins l?amour
S?est noye par le vin
S?est noye par la vanite
Par la loi de l?homme souverain
On ne voit rien
Tout existe dans l?invisible, sous nos visieres on ne voit rien
On n?entend rien
Le tumulte est silencieux car nous sommes sourds et a la fin
On ne sait rien
On regrette d?avoir regarde seulement
Droit devant
Au coeur tambours battant
La machine droit devant
On se dit que l?ont doit
Puis on n?oublie ce que l?on croit
C?est penaud que l?on se penche
Sur le nid de nos detresses
Couvant nos instants de tristesse
Paranoia de la paresse
Des millions de naufrages
Des millions de funambules
Au crochet de leurs malheurs
Pour mieux jalouser le bonheur
Entre celui qui n?a rien
Et celui qui veut tout
Lequel des deux est le plus pauvre?
C?est la question que je me pose...
Refrain
J?ai brise des roseaux pour dessiner mon sentier
Sans le vouloir deracine l?espoir de ceux qui veulent croire
Dehors il y a la nuit qui me murmure qui je suis
Sans etre rassuree je ris
Sur la corde raide je vis
Je ne suis pas encore aveugle
Pourtant
Je ne proteste pas tellement
Trop souvent
Je me laisse porter par le vent
Je me laisse porter par le vent
Ligotee par derriere
Et baillonnee par devant
Refrain
(Merci a Hoawiel pour cettes paroles)
On n?entend rien
On ne sait rien?
Droit devant, aveuglement, on navigue
Infini, l?ouragan gronde a chaque fragment de seconde
Dans nos jardins l?amour
S?est noye par le vin
S?est noye par la vanite
Par la loi de l?homme souverain
On ne voit rien
Tout existe dans l?invisible, sous nos visieres on ne voit rien
On n?entend rien
Le tumulte est silencieux car nous sommes sourds et a la fin
On ne sait rien
On regrette d?avoir regarde seulement
Droit devant
Au coeur tambours battant
La machine droit devant
On se dit que l?ont doit
Puis on n?oublie ce que l?on croit
C?est penaud que l?on se penche
Sur le nid de nos detresses
Couvant nos instants de tristesse
Paranoia de la paresse
Des millions de naufrages
Des millions de funambules
Au crochet de leurs malheurs
Pour mieux jalouser le bonheur
Entre celui qui n?a rien
Et celui qui veut tout
Lequel des deux est le plus pauvre?
C?est la question que je me pose...
Refrain
J?ai brise des roseaux pour dessiner mon sentier
Sans le vouloir deracine l?espoir de ceux qui veulent croire
Dehors il y a la nuit qui me murmure qui je suis
Sans etre rassuree je ris
Sur la corde raide je vis
Je ne suis pas encore aveugle
Pourtant
Je ne proteste pas tellement
Trop souvent
Je me laisse porter par le vent
Je me laisse porter par le vent
Ligotee par derriere
Et baillonnee par devant
Refrain
(Merci a Hoawiel pour cettes paroles)
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