Texty: Damien Saez. Kasia.
Kasia s'endort dans son appartement
Sa meche de cheveux qui fout le feu a la cinquieme
C'est New York qui a froid et moi aussi, je crois
Mais de la voir posee la, au centre des ombres
Comme le rayon d'un Dieu, mais d'un Dieu sans eglise
Dans les cendres d'un feu qui le coeur vous aiguise
Comme un chemin de croix, mais qui vous souffre pas
Comme une apparition
Elle se levera bientot et je serai la avide
On parlera un peu dans le marc du cafe noir
Puis elle mettra sur elle de la soie de Bombay
Des embruns aux paupieres, son ame hallucinee
Je suivrai du regard, gravirai les remparts
Et dans ses yeux sans fond ou l'on cherche des histoires
J'y entendrai les voix qui nous menent a la lumiere
Qui nous menent a la mer
Kasia dans les etoiles, c'est l'Etoile du Nord
Le chemin infini qui relie l'ame au corps
C'est la beaute de tout ce qu'on ne peut tenir
L'oxygene a mes nuits, la force des sourires
Qui file entre les mains, c'est tout ce qu'on ne peut
Pas expliquer enfin, c'est la grace
Oui, c'est Dieu
Et j'y crois
Quand elle danse pour moi, qu'elle me fait sentir plein
Qu'elle joue avec mon ame, qu'elle y met son parfum
Quand dans mes interieurs
Y a des brumes a l'aurore
Elle me prend dans ses doigts, du pourpre
Elle fait de l'or
Et c'est la que je vais loin, loin du chemin des tristes
Quand elle m'emporte au fond
De ses yeux bien trop clairs
Qui ont la couleur d'un Est
Toujours un peu a l'Ouest
Elle, elle dit que tout va bien
Si tu la croises un jour a la pointe du jour
Elle t'emmenera, sur, pour te montrer l'amour
Et ces ombres de Chine qui deviennent lumiere
Et ces vagues toujours qui retournent a la mer
Qu'on avait cru perdues, c'est celui qui revient
Quand ton ame des nues a perdu son chemin
Kasia, quand elle est la, c'est le chant des marins
Que tu entends au loin, c'est le dessin d'un sein
Qui fait oublier ce mal que l'on s'est fait pour rien
Kasia, c'est pas la fin, c'est juste nos destins
C'est un peu comme un don, un tableau italien
C'est un quatre septembre qui se marie en juin
Kasia s'endort dans son appartement
Sa meche de cheveux qui fout le feu a la cinquieme
C'est New York qui a froid et moi aussi, je crois
Mais de la voir, posee la au centre des ombres
Je m'assois a ses hanches, et je regarde grace
Et puis, quand je m'y penche sans prendre trop de place
Moi, je suis la riviere de ses yeux qui "lumierent"
L'oxygene a ma flamme
Sa meche de cheveux qui fout le feu a la cinquieme
C'est New York qui a froid et moi aussi, je crois
Mais de la voir posee la, au centre des ombres
Comme le rayon d'un Dieu, mais d'un Dieu sans eglise
Dans les cendres d'un feu qui le coeur vous aiguise
Comme un chemin de croix, mais qui vous souffre pas
Comme une apparition
Elle se levera bientot et je serai la avide
On parlera un peu dans le marc du cafe noir
Puis elle mettra sur elle de la soie de Bombay
Des embruns aux paupieres, son ame hallucinee
Je suivrai du regard, gravirai les remparts
Et dans ses yeux sans fond ou l'on cherche des histoires
J'y entendrai les voix qui nous menent a la lumiere
Qui nous menent a la mer
Kasia dans les etoiles, c'est l'Etoile du Nord
Le chemin infini qui relie l'ame au corps
C'est la beaute de tout ce qu'on ne peut tenir
L'oxygene a mes nuits, la force des sourires
Qui file entre les mains, c'est tout ce qu'on ne peut
Pas expliquer enfin, c'est la grace
Oui, c'est Dieu
Et j'y crois
Quand elle danse pour moi, qu'elle me fait sentir plein
Qu'elle joue avec mon ame, qu'elle y met son parfum
Quand dans mes interieurs
Y a des brumes a l'aurore
Elle me prend dans ses doigts, du pourpre
Elle fait de l'or
Et c'est la que je vais loin, loin du chemin des tristes
Quand elle m'emporte au fond
De ses yeux bien trop clairs
Qui ont la couleur d'un Est
Toujours un peu a l'Ouest
Elle, elle dit que tout va bien
Si tu la croises un jour a la pointe du jour
Elle t'emmenera, sur, pour te montrer l'amour
Et ces ombres de Chine qui deviennent lumiere
Et ces vagues toujours qui retournent a la mer
Qu'on avait cru perdues, c'est celui qui revient
Quand ton ame des nues a perdu son chemin
Kasia, quand elle est la, c'est le chant des marins
Que tu entends au loin, c'est le dessin d'un sein
Qui fait oublier ce mal que l'on s'est fait pour rien
Kasia, c'est pas la fin, c'est juste nos destins
C'est un peu comme un don, un tableau italien
C'est un quatre septembre qui se marie en juin
Kasia s'endort dans son appartement
Sa meche de cheveux qui fout le feu a la cinquieme
C'est New York qui a froid et moi aussi, je crois
Mais de la voir, posee la au centre des ombres
Je m'assois a ses hanches, et je regarde grace
Et puis, quand je m'y penche sans prendre trop de place
Moi, je suis la riviere de ses yeux qui "lumierent"
L'oxygene a ma flamme
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