Texty: Barbara. Pénélope.
Toi, l? epouse model?, le grillon du foyer,
toi, qui n?as point d?accroc dans ta rob` de mariee,
toi, l?intraitable Penelope,
en suivant ton petit bonhomme de bonheur,
ne berces-tu jamais, en tout bien tout honneur,
de joli?s pensees interlopes,
de joli?s pensees interlopes?
Derriere tes rideaux, dans ton juste milieu?,
en attendant l?retour d?un Ulyss?de banlieu?,
penche sur tes travaux de toile,
les soirs de vague a l?ame et de melancoli?,
n?as-tu jamais en reve, au ciel d?un autre lit,
compte de nouvelles etoiles,
compte de nouvelles etoiles?
n?as-tu jamais encore appele de tes voeux
l?amourette qui pass?, qui vous prend aux cheveux,
qui vour conte des bagatelles,
qui met la margarite au jardin potager,
la pomme defondue aux branches du verger,
et le desordre a vos dentelles,
et le desordre a vos dentelles?
n?as-tu jamais souhaite de revoir en chemin
cet ange, ce demon, qui, son arc a la main,
decoche des fleches malignes,
qui rend leur chair de femme aux plus froides statu?s,
les bascul? de leur socl?, bouscule leur vertu,
arrache leur feuille de vigne,
arrache leur feuille de vigne?
a suivre
(Merci a Peter pour cettes paroles)
toi, qui n?as point d?accroc dans ta rob` de mariee,
toi, l?intraitable Penelope,
en suivant ton petit bonhomme de bonheur,
ne berces-tu jamais, en tout bien tout honneur,
de joli?s pensees interlopes,
de joli?s pensees interlopes?
Derriere tes rideaux, dans ton juste milieu?,
en attendant l?retour d?un Ulyss?de banlieu?,
penche sur tes travaux de toile,
les soirs de vague a l?ame et de melancoli?,
n?as-tu jamais en reve, au ciel d?un autre lit,
compte de nouvelles etoiles,
compte de nouvelles etoiles?
n?as-tu jamais encore appele de tes voeux
l?amourette qui pass?, qui vous prend aux cheveux,
qui vour conte des bagatelles,
qui met la margarite au jardin potager,
la pomme defondue aux branches du verger,
et le desordre a vos dentelles,
et le desordre a vos dentelles?
n?as-tu jamais souhaite de revoir en chemin
cet ange, ce demon, qui, son arc a la main,
decoche des fleches malignes,
qui rend leur chair de femme aux plus froides statu?s,
les bascul? de leur socl?, bouscule leur vertu,
arrache leur feuille de vigne,
arrache leur feuille de vigne?
a suivre
(Merci a Peter pour cettes paroles)
Barbara
Barbara