Texty: Barbara. Le Minotaure.
Dans le grand labyrinthe ou je cherchais ma vie,
Volant de feu en flamme comme un grand oiseau ivre,
Parmi les dieux dechus et les pauvres amis,
J'ai cherche le vertige en apprenant a vivre.
J'ai chemine souvent, les genoux sur la terre,
Le regard egare, embrouille par les larmes,
Souvent par lassitude, quelquefois par priere,
Comme un enfant malade, envoute par un charme.
Dans ce grand labyrinthe, allant de salle en salle,
De saison en saison, et de guerre en aubade,
J'ai fait cent fois mon lit, j'ai fait cent fois mes malles,
J'ai fait cent fois la valse, et cent fois la chamade.
Je cheminais toujours, les genoux sur la terre,
Le regard egare, embrouille par les larmes,
Souvent par lassitude, quelquefois par priere,
Comme un enfant rebelle qui depose les armes.
Mais un matin tranquille, j'ai vu le minotaure
Qui me jette un regard comme l'on jette un sort.
Dans le grand labyrinthe ou il charchait sa vie,
Volant de feu en flamme, comme un grand oiseau ivre,
Parmi les dieux dechus et les pauvres amis,
Il cherchait le vertige en apprenant a vivre.
Il avait chemine, les genoux sur la terre,
Le regard egare, embrouille par les larmes,
Souvent par lassitude, quelquefois par priere,
Comme un enfant rebelle qui depose les armes.
Dans ce grand labyrinthe, de soleil en soleil,
De printemps en printemps, de caresse en aubaine,
Il a refait mon lit pour de nouveaux sommeils,
Il a rendu mes rires et mes reves de reine.
Dans le grand labyrinthe, de soleil en soleil,
Volant dans la lumiere, comme deux oiseaux ivres,
Parmi les dieux nouveaux et les nouveaux amis,
On a mele nos vies et reappris a vivre...
Volant de feu en flamme comme un grand oiseau ivre,
Parmi les dieux dechus et les pauvres amis,
J'ai cherche le vertige en apprenant a vivre.
J'ai chemine souvent, les genoux sur la terre,
Le regard egare, embrouille par les larmes,
Souvent par lassitude, quelquefois par priere,
Comme un enfant malade, envoute par un charme.
Dans ce grand labyrinthe, allant de salle en salle,
De saison en saison, et de guerre en aubade,
J'ai fait cent fois mon lit, j'ai fait cent fois mes malles,
J'ai fait cent fois la valse, et cent fois la chamade.
Je cheminais toujours, les genoux sur la terre,
Le regard egare, embrouille par les larmes,
Souvent par lassitude, quelquefois par priere,
Comme un enfant rebelle qui depose les armes.
Mais un matin tranquille, j'ai vu le minotaure
Qui me jette un regard comme l'on jette un sort.
Dans le grand labyrinthe ou il charchait sa vie,
Volant de feu en flamme, comme un grand oiseau ivre,
Parmi les dieux dechus et les pauvres amis,
Il cherchait le vertige en apprenant a vivre.
Il avait chemine, les genoux sur la terre,
Le regard egare, embrouille par les larmes,
Souvent par lassitude, quelquefois par priere,
Comme un enfant rebelle qui depose les armes.
Dans ce grand labyrinthe, de soleil en soleil,
De printemps en printemps, de caresse en aubaine,
Il a refait mon lit pour de nouveaux sommeils,
Il a rendu mes rires et mes reves de reine.
Dans le grand labyrinthe, de soleil en soleil,
Volant dans la lumiere, comme deux oiseaux ivres,
Parmi les dieux nouveaux et les nouveaux amis,
On a mele nos vies et reappris a vivre...
Barbara
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